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Antigone de Jean Anouilh
Créon a ordonné que le corps de Polynice pourrisse au soleil. Toute personne allant contre cet édit devra mourir. Antigone le sait mais elle désobéit, une nuit, à l’aube elle va recouvrir le corps de son frère avec un peu de terre...
« Anouilh offre à Antigone un nouvel élan en modernisant le mythe : Antigone n’est pas raisonnable et peut même paraître têtue et orgueilleuse mais Antigone incarne aussi la révolte, la jeunesse, l’adolescence. Cette force vive qui a ses idéaux, les défendant sans concession, avec parfois un peu de maladresse mais toujours avec passion. »
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